J'étais avocat dans une ville moyenne en province.
J'avais pour ligne de conduite d'assurer personnellement le suivi judiciaire et procédural de chaque dossier avec l'aide de ma secrétaire et ponctuellement toute la fougue de quelques jeunes étudiantes stagiaires qui se destinaient à intégrer le monde judiciaire.
Ce type d'exercice m'a toujours permis de préserver les rapports humains et de conserver une approche singulière des dossiers. Mon activité était celle d'un généraliste avec une prédominance d'affaires relevant du droit de la famille, du droit civil, du droit commercial et du droit du travail.
Les difficultés grandissantes d'exercer mon activité dans le respect des règles de conduite que je m'étais fixées m'ont amené à changer d'orientation professionnelle après 18 années de bons et loyaux services.
J'ai quitté le Barreau en 2009 pour travailler dans une petite entreprise de production d'une dizaine d'employés qui se débat pour survivre à la crise économique qui a durement touché son secteur d'activité. Mon expérience professionnelle et ma connaissance des erreurs fatales à éviter lui a permis de sauver les apparences jusqu'à présent mais le banquier reste le véritable maître du jeu. La bonne volonté est une condition nécessaire à la continuité de l'entreprise mais elle n'est pas suffisante. Seule une réelle reprise économique est en mesure de lui permettre de solder son passif, d'éviter la cessation des paiements et d'envisager l'avenir avec plus de sérénité.
Après une année pour des raisons personnelles mais également économiques, j'ai changé de secteur d'activité pour intégrer une entreprise familiale en pleine expansion. Pas d'activité de production, mais uniquement du commerce et la logistique qui l'accompagne. Cette entreprise avait un besoin de structurer son développement sur le plan administratif, juridique et des ressources humaines.
J'avais pour ligne de conduite d'assurer personnellement le suivi judiciaire et procédural de chaque dossier avec l'aide de ma secrétaire et ponctuellement toute la fougue de quelques jeunes étudiantes stagiaires qui se destinaient à intégrer le monde judiciaire.
Ce type d'exercice m'a toujours permis de préserver les rapports humains et de conserver une approche singulière des dossiers. Mon activité était celle d'un généraliste avec une prédominance d'affaires relevant du droit de la famille, du droit civil, du droit commercial et du droit du travail.
Les difficultés grandissantes d'exercer mon activité dans le respect des règles de conduite que je m'étais fixées m'ont amené à changer d'orientation professionnelle après 18 années de bons et loyaux services.
J'ai quitté le Barreau en 2009 pour travailler dans une petite entreprise de production d'une dizaine d'employés qui se débat pour survivre à la crise économique qui a durement touché son secteur d'activité. Mon expérience professionnelle et ma connaissance des erreurs fatales à éviter lui a permis de sauver les apparences jusqu'à présent mais le banquier reste le véritable maître du jeu. La bonne volonté est une condition nécessaire à la continuité de l'entreprise mais elle n'est pas suffisante. Seule une réelle reprise économique est en mesure de lui permettre de solder son passif, d'éviter la cessation des paiements et d'envisager l'avenir avec plus de sérénité.
Après une année pour des raisons personnelles mais également économiques, j'ai changé de secteur d'activité pour intégrer une entreprise familiale en pleine expansion. Pas d'activité de production, mais uniquement du commerce et la logistique qui l'accompagne. Cette entreprise avait un besoin de structurer son développement sur le plan administratif, juridique et des ressources humaines.
